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Ce dimanche 11 Décembre, j'ai participé au Chocotrail à Hardricourt (78), en optant pour le 13 kms seulement compte-tenu d'un programme déjà chargé.
Si vous aimez le chocolat, c'est une course à ne pas manquer: la médaille finisher est en chocolat et il y a dégustation à volonté car il y a une des plus grandes usines européennes de chocolat à Hardricourt. Le saviez-vous ?
Avec le plan vigipirate, l'orga d'une telle épreuve devient un cauchemar pour les organisateurs...et, en tant que coureur, il ne faut arriver à la "bourre" car la circulation est très réglementée (rues bloquées par des engins de chantier par ex), les contrôles importants pour récupérer son dossard, pour rentrer dans le sas de départ, etc.
Nous sommes environ 900 sur la ligne de départ du 13. Autant sur le 24kms et un peu moins sur le 8.
Je me faufile et pars dans les premiers mais sans trop accélérer quand même car il y a une grosse montée après 3kms. Les 3 premiers kms sont pour moi: il s'agit d'un chemin roulant mais étroit car longeant la Seine. Pas facile de doubler: cela confirme l'option de partir dans la tête du peloton.
Ensuite, 3 autres kms un peu plus pentus que je gère bien. Je commence à doubler les attardés du 24kms qui sont partis 15 min plus tôt.
Le terrain est plutôt sec pour la saison; les conditions sont idéales. J'enchaine les kms à un rythme régulier.
Les 2 derniers kms sont carrèment sur le bitume avec une belle et longue descente qui se traduit par....une belle et longue montée qui fait mal. Au total il y a 250D+.
Je termine les 13,4kms en 1h00'15", 18eme scratch sur 862 classés et surtout une 1ere place en VH2. Dommage que le podium récompense les Masters toute catégorie d'âge confondue (V1/V2/V3)...
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Rapide CR du Maxicross de Bouffémont (95) où je m'alignais sur le 25 kms.
Cette course est réputée et connue pour être exigeante avec ses 900D+ et ses passages boueux. Fort heureusement, cette année le parcours est plutôt sec.
Pour avoir déjà couru l'épreuve, je sais qu'il faut modérer ses efforts sur la première moitié du parcours car la seconde est constituée de belles montées et descentes, dont le fameux "M" où il faut s'aider des cordes tendues pour monter et descendre.
Au 10eme km environ, j'entends un coureur me saluer: c'est Olivier O. du club, qui lui, est sur le parcours 42kms qui rejoint le 25. Connaissant son niveau, je m'attends à ce qu'il me double ou du moins reste avec moi, mais quand je me retourne 200m plus loin, il a décroché: normal car, comparé à moi, il avait déjà 2h30 de course de + dans les jambes...
Au final, je termine 87eme sur 860 arrivants, en 2h20', 7eme VM2.
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On en rencontre du beau monde à Bouffémont !!!
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Bravo Christophe pour ta course !
J'étais effectivement sur le 41 km en préparation pour le 80 km de l'Ecotrail de Paris dans 3 semaines (déjà !...).
Parcours particulièrement sec cette année, et un tracé toujours aussi agréable : que tu mono sentier qui ne fait que monter et descendre : 1585 m de dénivelé positif sur le 41km, un très beau ratio pour l'Île de France !
J'aurais bien aimé pouvoir t'accrocher Christophe, mais ton rythme était trop rapide à ce moment-là.
Je boucle finalement en 3h55 en 28ème position sur environ 600 partants ;o)
Prochaine balade : le 18 mars donc, entre St Quentin en Yvelines et le 1er étage de la Tour Eiffel )
Olivier
Dernière modification par Ultra_Olivier (28-02-2017 22:22:38)
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Quand on a parcouru quelques 80 km, les quelques marches qui mènent au 1e étage de la Tour Eiffel, c'est peanuts, non ?
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C'est la délivrance, donc ça passe.
Mais ces 347 marches m'ont souvent fait grimper le cardio à plus de 185 bpm après 7 ou 8h d'effort, donc je relativiserais le terme "peanuts" ;o)
Surtout si on se tire encore la bourre avec un concurrent dans ces escaliers !
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Comme promis, un court CR de l'Ecotrail 80 couru en ce samedi 18 Mars.
Ce fut comme d'hab (mais on oublie vie) une difficile épreuve même si la météo était idéale (pas de pluie et une température qui me convient).
Quand on arrive au 1er ravito au 22eme km, on se dit déjà que l'on est bien fatigué. Et pourtant il reste encore 58 kms qui ne sont pas les + faciles avec un total de 1500D+.
Je visais de passer sous les 10h et au 56eme, j'avais 30min d'avance sur mes temps de référence de mes 2 première participations. Las, j'attaquais les derniers kilomètres sur les quais de Seine en mode automatique : je ne pensais qu'à mettre un pied devant l'autre en tenant un bon 9km/h...quand soudain, j'aperçois avec horreur que nous devons quitter les quais pour monter rejoindre une bonne partie de la côté des Gardes, un drôle de détour pas très apprécié quand on a déjà 72km dans les "pattes".
C'en fut trop: je n'ai jamais vraiment pu recommencer à courir sérieusement et termine, sans le "dur", en 10h48min, 1141eme sur 2300 partants; très loin d'Olivier O. dont la performance et le classement sont réellement impressionnants (à lui de vous raconter mais déjà kudos!!).
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Bravo à toi en tous les cas... Déjà que le Côte des Gardes est difficile au bout de 5 km dans Paris Versailles. Alors je n'imagine même pas après 70 km de course !!!
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Chris Lab a écrit:
Comme promis, un court CR de l'Ecotrail 80 couru en ce samedi 18 Mars.
Bravo pour ta course Christophe ! cet Ecotrail reste un gros morceau, quelque soit la météo, car il faut quand même courir très souvent ;o)
Quant à moi, je dirais que c'est probablement ma "meilleure course loupée" ;o)
J'avais en effet un objectif très (trop ?) ambitieux en essayant d'aller titiller les 7h (7h14 il y a 2 ans). Je suis donc parti fort en étant dans le petit groupe de Sylvaine Cussot (vainqueur chez les femmes l'an dernier en 6h50) où nous atteignons le 1er ravitaillement de Buc au 23ème km en 1h41 soit un peu moins de 14 km/h de moyenne...!!
Ce rythme est clairement trop élevé pour mes capacités du jour, c'est donc logiquement que j'explose peu de temps après où je commence à me traîner vraiment sur les chemins : je gamberge, je marche (beaucoup), mais je me refais la cerise petit à petit en m'alimentant bien.
Puis, miracle de l'ultra, les sensations commencent à revenir, et je remonte de nouveau sur des coureurs en m'approchant du ravitaillement de Chaville au km 58.
Alors même si j'ai grandement puisé dans mes réserves de glycogène sur le 1er quart un peu suicidaire, je parviens à me faire plaisir en parcourant ces forêts de Fausse Reposes et parc de St Cloud.
J'espérais ne pas avoir à sortir la frontale avant d'arriver, mais je suis contraint de le faire dès l'ïle St Germain pour ne pas louper de rubalise, tout en continuant à reprendre des concurrents ;o)
Anecdocte amusante : les chemins étaient étonnament secs sur tout le parcours, et le seul endroit où je me suis mouillé les pieds est dans le mini parc au pied de la tour Eiffel où se trouvait une petite flaque inévitable !! ;o)
La montée des marches éclairées est toujours assez magique bien qu'éprouvante, et je boucle donc cette "course partiellement loupée" en 7h32 et 65ème sur un peu plus de 2000 partants, donc très content malgré tout.
Là tout de suite : récup, puis place à l'entraînement triathlon ;o))
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@Olivier, tu es réellement impressionnant...! Pour une course "loupée", c'est quand même pas trop mal ;-)
Je préfère courir un 10kms avec toi; j'ai l'air moins ridicule à finir 1 à 2 min derrière, plutôt qu' à 3h (le détail sur la lampe frontale est un peu agaçant car moi, je l'ai allumée à Chaville au 56eme km)
Bon, sinon tu prépares quels triathlons (histoire de me donner des idées) ?
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Un grand merci Christophe ! c'est très sympa :-))
Alors pour les triathlons, je fais :
- le M (1,5-40-10) de l'Ame (Loiret) le 30 avril
- le M d'Enghien les Bains le 21 mai
- le L (2-90-21) Trialong d'IDF à Bois le Roi le 17 septembre
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